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| J. PEYRECAVE TOULOUSE | Toulouse le 30 Mars 1860 Messieurs E. E. Roussille frères negts à Pau. | ||||||||||||
| Votre Dernière lettre est du 24 courant; Je l'ai sous les yeux. Je M'occupe activement de tous vos comptes et je ne tarderais pas à vous Donner satisfaction Pour quant à tout ce que vous me Demandez à cet Egard. J'ai Repris le 13 courant la fabrication de la bougie. Voici ou j'en suis avec Faulquier. D'habitude cette maison tient la stéarine au meme prix que sa bougie. voulant chiffrer la faveur qu'il entendait me faire, je lui avais Demandé, Pour la Base de nos relations, qu'il me donnat sa stéarine à 5 f par % K au Dessous du prix de sa bougie; J'ai calculé que ces conditions etaient assez avantageuses pour moi en portant le terme des factures a 90 jours; c'est à ce taux que je lui ai acheté à 245.., 1000 K [] en Deux fois le 7 et 15 courant. il N'a pas voulu prendre cet engagement d'une Maniere formelle mais il m'a invité d'avoir confiance en lui et il M'a promis en Echange toutes les faveurs Possibles. j'ai Donc compris qu'il Me fesait parfaitement cette Difference mais il n'a pas voulu Rester engagé pour toujours. J'ai parfaitement admis cette Reserve et de mon coté je ne prendrais cette Marchandise que lorsqu'ils me la Donneront à ces conditions de prix, etant d'accord Pour le terme de 90 jours. Jusqu'a ce qu'il s'endorme de nouveau, Darris s'est comme chaque annee Reveillé un moment. il fait dans ce moment de la Bonne stearine marchande; Je lui en ai pris 1000 K a 245.. Rendue chez moi et Payable à 90 jours. Vous avez D'autre part le compte de vente des 124 Bombonnes acide Muriatique. Veuillez Disposer
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