Lettre de M. de Hody adressée à P. Hiart, négociant à Mugron (40)
Archive privée inédite
- Date: 03/09/1835
- Lieu: Bayonne (64)
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[La transcription peut comporter des erreurs]
Monsieur
Monsieur Pre Hiart négt
a Mugron
Monsieur,
J'étais absent lorsque la lettre, que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire le 30. août, est arrivée; je la reçois à l'instant et je m'empresse d'y répondre
Je vous ai mandé dimanche der après m'en être entendu avec M. Dornaldeguy, que l'erreur que je vous ai signalée ne pouvait être redressée que par vous, c'est le moyen le plus naturel et le seul qui puisse éviter toute contestation entre les parties intéressées, puisque c'est vous qui à la rigueur devriez faire la repartition par quart. Il y a impossibilité aujourd'hui de la part de m. Dornaldeguy qu'il règle cette affaire, il a déjà prévenu ses mandataires de votre remise et bien certainement il ne parviendrait jamais, à leur faire comprendre, qu'ils ont reçu l'année dernière au dela de ce qu'il leur revenait faudrait-il donc que je supporte cette perte ce ne serait pas juste et je n'y consentirai certainement pas.
Je ne doute pas, monsieur, que comprenant nos positions respectives vous ne suiviez la marche que je vous ai indiquée par ma dernière, c'est la seule à laquelle chacun se soumettra sans mot dire.
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma parfaite consideration
Rep le 5. Obre 1835
Monsieur Pre Hiart négt
a Mugron
Bayonne 3. 7bre 1835.
Monsieur,
J'étais absent lorsque la lettre, que vous m'avez fait l'honneur de m'écrire le 30. août, est arrivée; je la reçois à l'instant et je m'empresse d'y répondre
Je vous ai mandé dimanche der après m'en être entendu avec M. Dornaldeguy, que l'erreur que je vous ai signalée ne pouvait être redressée que par vous, c'est le moyen le plus naturel et le seul qui puisse éviter toute contestation entre les parties intéressées, puisque c'est vous qui à la rigueur devriez faire la repartition par quart. Il y a impossibilité aujourd'hui de la part de m. Dornaldeguy qu'il règle cette affaire, il a déjà prévenu ses mandataires de votre remise et bien certainement il ne parviendrait jamais, à leur faire comprendre, qu'ils ont reçu l'année dernière au dela de ce qu'il leur revenait faudrait-il donc que je supporte cette perte ce ne serait pas juste et je n'y consentirai certainement pas.
Je ne doute pas, monsieur, que comprenant nos positions respectives vous ne suiviez la marche que je vous ai indiquée par ma dernière, c'est la seule à laquelle chacun se soumettra sans mot dire.
Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de ma parfaite consideration
De hody
Rep le 5. Obre 1835
Lettre de M. de Hody adressée à P. Hiart, négociant à Mugron (40) Archive privée inédite
Date: 25/11/1834
Lieu(x):
Bayonne
(64)