L'an mille huit Cents vingt neuf Et le quatorze novembre au lieu de sendets á Eté Convenu Ce qui suit savoir Et que Bernade fourcade du lieu de sendets á vendu sous faculté de rachat avec lassistance du sieur Jean minvielle dit fourcade son mari Et de lui autorisee pour la validité du present dun lopain de terre de la Contenance dun arpan ou Environ avec toute Celle qui Ce trouvera dans lensinte de ses Bornes pour le terme Et Espace dici au quatorze novembre Mille huit Cents trente Et faute par les vendeurs den Exercer le remeré la vante deviendra pure Et simple Et Jamais inrevocable vers Et en faveur du sieur Bertrand prat fils, la susdite terre sur vandue Et En nature de Chataigneree Et tuie Lande [] a la lande dehore Confrontant du nor avec terre de Caubet Et Camy de sendets du levent avec du meme Camy du midi avec terre de Caubet Et du Couchant avec terre du meme Caubet Et Cette Vante a Eté faite pour le pris Et somme de Cents vingt francs que le dit Bertrand prat acquereur a tout presentement Comptes nombré Et rellement peyé Et Et les vendeurs les ont pris Et retires Et sen sont Contentes voullant que faute par Eux rembources la somme de Cents vingt francs Ci dessus mensionné pris de la vante Convenu Entre parties au terme fixé quatorze novembre Mille huit Cents trente laquereur En prendra la Relle poscetion Et Jouiscance Et quil En deviendra le metre incomutable Comme de son propre bien Et a la Charge par lui den payé les Charge incomventes sur le dits fonts Et pour Garantir la ditte vente les vendeurs ont afecté Biens Et Causes presens Et avenir Et du present a Eté fait double au meme lieu Et les parties ont signe Celui Ci pour Bertrand prat acquereur

prat, Jean Minvielle dit fourcade, Bernade fourcade

Enregé à Morlaàs le Vingt deux fevrier 1831 fo 8. Vo C. 5 et suivante. reçu sept francs Vingt six Centimes, sans double droit à Cause de l'amnistie.

Chaumont


non Payé.