Messieurs
Fourcade freres a s
te marie
oleron
Bayonne le 2 aout 1830
Messieurs Fourcade freres a s
te marie doleron
la presante est pour vous dire que je ne me suis pas decide de partir aujourdhuy voyant le tumulte de cette ville car tout le monde demande des armes et meme le bruit courait que les espagnols setait aussy souleve, cepandant je vains daprandre que an espagne raigne la plus grande tranquilite de maniere je me decide a partir dumain vous mecrires a victoria, vous aure soin de me dire ce qui se passe sy je dois faire des achats ou non je doute bien que cest mur Rhot celuy qui avoit ofairt de nos peaux a mur auguste 14 f je y suis éte aujourdhuy deux fois je ne pas pu le trouve a la maison, car dans ce moment cest imposible ny a bayonne de pouvoir trouve personne dans leurs maison ny meme parle daucun afaire, tant le peuble est exalte, veuille ecrire a mur s
t martain que les peaux dagnos qui vous espedie qui vous les espedie an antrepot je crois que les aquits vaudront quelque chose pour les vandre car aujourdhuy sy nous an avions nous an ferions de 5 a 6 pour cent parce que on espedie pour letrange et sy non pas daquits on est oblige de paye des droits tres forts,
je vous salue bien sainserement
Bayonne 2 Aout 1830
Louis Fourcade
| reçu 4 Aout | rdu 7. Aout |
| chez Weidman à Victoria precrit de ne rien achêter ni de faire des avances à qui que ce soit |
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