Monsieur
Aug
te Hiard
par Tartas
Mugron
Bayne le 19. févr 1825.
Ni mort, ni blessé, mon cher Auguste, il étoit écrit qu'il n'y auroit pas de sang répandu pour cette fois. Mon homme a dit qu'il n'avoit rien à me demander & c'est ainsi que s'est terminée cette affaire qui a fait tant de tapage à Bayonne. Je ne te donne pas d'autre détail, parce que le tems est trop court; je tiens à répondre à la marque d'attachement que tu m'as témoigné en m'engageant à t'écrire.
adieu ton ami pour toujours
B. A. Giron
P. S. M
r Thomas trouvera sa perruque achevée lorsqu'il sera ici. Dis à frédéric que je ne suis pas mort & que je n'ai pas reçu d'autre cartel. Respects & amitiés chez toi
adieu.
Gironle 19 f
r 1825.
Je veux te prier de me faire faire un cordon en cheveux pareil à celui que tu m'as fait voir ici. Je t'enverrai les cheveux, [manque] te prie de me dire le prix.