Monsieur Auguste hiard,
prop
reà Mugron.
Landes.
Mon cher Auguste,
je suis venu voir hier m
me de vios. elle va fort mal. son mari me prie de revenir la revoir demain soir. par suite il me sera Impossible d'aller à mugron jeudi, ce dont je suis très contrarié. mais sitot que j'aurai un peu de Liberté, sois assuré que j'en profiterai pour aller passer une bonne journée avec vous autres; car il me tarde beaucoup de revoir ce pauvre Thiburce.
adieu mon cher Auguste, reçois la nouvelle assurance de mon sincère attachement.
Tout à toi de coeur
fs Batbedat d. m. |